Le Cocu D’Isabelle Le Retour De David

Les semaines qui ont suivi la dernière baise d’Isabelle dans mon salon se passent tranquillement, apparemment Isa et Michelle se font plus discrètes et je n’arrive pas à les surprendre. Ma femme sort bien quelque fois le soir mais elle s’arrange toujours pour que je sois occupé au travail ou ailleurs. Je sais qu’elle continue ses aventures mais le fait de ne pas la voir ou savoir ce qu’elle fait me mine. En rentrant chez moi le soir il m’arrive de croiser David à plusieurs reprises. Depuis qu’il a baisé Isabelle sur mon canapé il me salue toujours avec un petit sourire narquois. Le croiser une fois, deux fois dans le quartier, ça peut être une coïncidence mais quasiment un jour sur trois je n’ai plus de doute, Il est revenu se taper ma femme et ça régulièrement !
Il va falloir que j’en apprenne plus ! Une fois encore c’est le hasard qui va me mettre au courant des faits.
Faisant des courses dans le centre-ville je rencontre Sylvie, la copine de David, accompagnée de trois jeunes mecs d’une vingtaine d’année. Bonjour de politesse et elle commence à m’entreprendre.
S : je peux vous parler de quelque chose à propos de David ?
Moi : oui qu’est ce qui passe ?
S : On peut en parler dans un endroit plus tranquille, je veux pas en parler devant tout le monde
M : oui pas de problème
Et elle m’entraine avec ses copains dans une petite ruelle pavée ou effectivement il n’y a personne.
M : Alors qu’est qu’il y a ?
Le ton de Sylvie change tout de suite
S : Vous en avez pas marre d’être cocu ?
M : quoi ?
S : David baise votre femme depuis le premier jour où on est venu chez vous…
M : c’est pas vrai ?
S :Ben oui cocu ! mais maintenant il la baise tout le temps et moi je le vois plus, quand il rentre elle l’a vidée alors tu vas arrêter tout ça.
Les copains de Sylvie se sont placés autour de moi , elle me fait face comme si elle allait me sauter dessus.
M : Mais qu’est ce que je peux y faire ?
S : Bordel t’as vraiment pas de couilles, tu vas dire à ta salope d’arrêter, elle a qu’à se trouver d’autres mecs si t’es pas capables de la baiser.

Les copains de Sylvie se marrent et il y en a un qui sort : Putain, t’avais raison Sylvie c’est une vrai fiote ce type, moi il y a longtemps que je l’aurais calmer sa salope !
S : oui, il a pas de couilles je m’en suis aperçu tout de suite (en me pinçant les joues dans sa main) Montrez lui ce que c’est une bite je parie qu’il en a jamais vu une vrai !
Je bouge plus, les mecs se rapprochent de moi et sortent leur queue de leur jogging. Ils commencent tous les trois à se branler, je ne peux pas lâcher ses bites du regard. Elles grossissent rapidement sous leurs doigts.
S : Tu vois c’est ça des mecs qui ont des couilles, t’as pas du en voir des comme ça souvent hein, eh bien ta femme elle voit celles de mon mec tout les jours et elle les vide !
Les mecs continuent à se masturber le long de mes jambes, ça m’excite malgré moi.
Celui qui m’a traité de fiote me prend la main et la pose sur sa queue : « Tiens tâte ça, c’est une vraie bite de mec ! « les autres se mettent à rigoler, ma main entoure le sexe de ce jeune type, il est dur et chaud, au lieu de le lâcher je commence à faire deux ou trois aller-retour sur la queue gonflée. « Putain il me branle ! c’est vraiment une pédale » lance le type. C’est pas la première fois que je branle un mec mais là je lâche le sexe pendant que les autres reculent en se marrant. Sylvie me crache dessus en me traitant de PD et en me disant que ma femme a bien raison de me faire cocu. Les mecs qui ont débandé se place en face de moi et ils se mettent à me pisser dessus éclatant de rire avant de quitter la ruelle. Je me retrouve dans la ruelle le pantalon trempé d’urine mais pas mécontent d’avoir tenu une autre queue que la mienne dans les mains.